2016

LAURÉATS / GEFÖRDERTE PROJEKTE

Nacera Belaza | Sur le fil

Olivier Dubois / Ballet du Nord | Auguri

Raimund Hoghe | La Valse

Sandra Iché | Droite-Gauche

Leyla-Claire Rabih & Theater an der Parkaue - Junges Staatstheater Berlin | En finir avec Eddy Bellegueule / Das Ende von Eddy

Cie Un loup pour l’Homme | Rare birds

Mickaël Phelippeau & Theater Freiburg | Mit Daudi

Pol Pi | ECCE (H)OMO

s-h-i-f-t-s – art in movement | Yes No Maybe

Nadia Beugré | Tapis Rouge


Nacera Belaza | Sur le fil

Uraufführung / Création :

23.-24.06.2016 / Montpellier Danse (FR)

12.-13.11.2016 / LAB Frankfurt | Künstlerhaus Mousonturm, Frankfurt am Main (DE)

Représentations / Vorstellungen 2018-2019:

11.01.2018 / L’Estive, Scène nationale de Foix et de l’Ariège (FR)

07.03.2018 / Collectif 12, Mantes-La-Jolie (FR)

11.05.2018 / A Corner in The World Festival, Istanbul (TU)

01.-03.06.2018 / Fondation Serralves, Porto (POR)

14.-16.09.2018 / PICA - Portland Institute for Contemporary Art, Portland (USA)

28.-29.09.2018 / CAC - Contemporary Arts Center, New Orleans, (USA)

04.-06.10.2018 / Danspace Project / FiAF, New York (USA)

11.-12.01.2019 / Théâtre de Lorient (FR)

10.-13.04.2019, M C93, Bobigny (FR)

28.08.2019 / Akademie der Künste, Berlin (DE)

www.cie-nacerabelaza.com

SUR LE FIL c’est la nécessité de maintenir le déséquilibre à l'intérieur de soi, de se maintenir au cœur même de son propre vide, mentalement et physiquement ne se reposer sur aucune forme de certitude.

"Ce qui permet à l'écriture d'endurer et de dépasser l'expérience scénique réside, entre autre, dans le degré de prise de risque que s'autorise chaque interprète. Sa capacité à conjuguer en permanence la rigueur, c'est à dire l'ensemble des règles inhérentes à l'écriture avec son propre dépassement, et ce jusqu'à ce que le mental et le corps cèdent et ne représentent plus une limite. Cette double exhortation donne lieu à une expérience paradoxale empreinte d'infinie soumission et d'abandon. Car le dépassement ne devient possible que lorsqu'on s'est employé à appliquer rigoureusement au corps et au mental une série de règles qui mettent en lumière son propre mode de fonctionnement habituel, connu et auquel il est indispensable de se soustraire. Une fois cette mécanique cernée, il devient plus aisé de trouver les voies par lesquelles on parvient à échapper à soi et c'est précisément à cet endroit que se trouve, à mes yeux, l'enjeu essentiel d'une pièce. En effet, afin de parvenir à faire résonner en l’autre, l’expérience de cette transcendance, l'interprète doit en permanence avoir conscience de cette tension dramatique qui peu à peu lui donne la sensation de l'amener au bord de lui même et lui permet ainsi d'appréhender ce qui, sans cesse, lui échappe et l'accomplit. Cet équilibre minutieux et fragile à maintenir le rend réceptif à l'extrême, non seulement à ce qui se produit en lui mais surtout hors de lui. Une attention nouvelle qui retisse et renoue les liens perdus avec ce qui nous entoure, au profit de ce qui se montre. Alors seulement, en équilibre SUR CE FIL  pour un temps indéfini, on accepte de ne plus savoir.”                      Nacera Belaza

SUR LE FIL ist die Notwendigkeit, Ungleichgewicht im Inneren von sich selbst zu bewahren, sich in der Mitte der eigenen Leere zu behaupten, sich weder geistig noch physisch auf keine Form von Gewissheit auszuruhen (...)

Was einer Choreografie die Bühne zu transzendieren ermöglicht,  liegt nicht zuletzt an der Risikobereitschaft der Interpreten, d.h. an ihrem Vermögen, die strengen Regeln, die Bestandteil einer Choreografie sind, mit der eigenen Überschreitung fortwährend durch zu deklinieren bis Geist und Körper nachgeben und keine Grenzen mehr darstellen. Diese doppelte Aufforderung führt zu einer paradoxen Erfahrung, die vonUnterwerfung und Hingabegeprägt ist.  Denn die Überschreitung ist nur möglich, wenn es gelingt, Körper und Geist einer Reihe Regeln rigoros zu unterziehen,  die unsere gewöhnliche Art zu funktionieren ans Licht fördert und die es abzulegen gilt. Nachdem man sich dieses Mechanismus bewusst ist, wird es einfacher, Wege zu finden,  um sich selbst zu entkommen. Und gerade da liegt der wesentliche Einsatz eines Stückes. Damit es gelingt,  die Erfahrung dieser Transzendenz im Anderen zu übertragen, muss sich der Interpret ständig dieser dramatischen Spannungbewusst sein, die ihm allmählich das Gefühl gibt, bis am Rande seiner selbst zu gehen und die ihm so ermöglicht, das zu begreifen, was ihm fortwährend entgeht und ihn zu erfüllen vermag. Dieses minutiöse und fragile Gleichgewicht zu halten, macht ihn aufnahmefähig für das Äußerste, nicht nur für das, was in ihm sondern vor allem für das, was sich außerhalb von ihm abspielt.  Eine neue Aufmerksamkeit, die die verlorene Beziehung zu dem, was uns umgibt, wiederherstellt zugunsten dessen, was dadurch zum Vorschein kommt. Erst dann, im Gleichgewicht SUR CE FILakzeptiert man auf unbestimmte Zeit nicht mehr zu wissen. (...)                      Nacera Belaza 

© Claudia Pajewski

Partner / Partenaires:

Festival Montpellier Danse; La Villette Paris – résidences d’artiste 2015; Centre Chorégraphique National de Tours / Direction Thomas Lebrun (accueil studio); Le Centre National de la Danse - Pantin (création en résidence); Moussem; Collectif 12, Mantes la Jolie, avec le soutien de la DRAC Ile de France – aide à la résidence; Bozar - Palais des Beaux-Arts de Bruxelles; Künstlerhaus Mousonturm de Francfort. Soutien Fonds Transfabrik – Fonds franco-allemand pour le spectacle vivant, Spedidam, Adami


Olivier Dubois / Ballet du Nord | Auguri

Uraufführung / Création :

10.-12.08.2016 / Internationales Sommerfestival, Kampnagel, Hamburg (DE)

22.-24.09.2016 / TNP Villeurbanne | Biennale de la danse de Lyon (FR)

www.balletdunord.fr

Avec AUGURI, Olivier Dubois achève sa trilogie «Étude critique pour un trompe-l’oeil », composée de quatre oeuvres: RÉVOLUTION (2009) et ROUGE (2011) en sont les deux premières parties, TRAGÉDIE (2013) et AUGURI forment ensemble la troisième et dernière partie de cette série. Ces deux pièces abordent la grande question de l´Humanité en soi et proposent selon Olivier Dubois une expérience du monde plutôt qu´une oeuvre chorégraphique. TRAGÉDIE programmé en ouverture du Internationales Sommerfestival 2013, décrit telle le développement de l'homme et de sa conscience en de grandes images comme une tragédie. Après cette oeuvre à la ligne formelle très stricte s´achevant dans un vertige cathartique, suit maintenant avec AUGURI une confrontation avec le vertige du bonheur. Olivier Dubois expérimente avec ses 24 danseurs cette quête éternelle de l´homme vers le bonheur et la joie de vivre. Par un langage chorégraphique composé de marches, courses et sauts, ils tentent de s´affranchir de la gravité terrestre jusqu´à tenter l´envol.

Mit AUGURI vollendet der Französische Choreograf Olivier Dubois seine Trilogie «Étude critique pour un trompe-l’oeil », die aus insgesamt vier Arbeiten besteht : RÉVOLUTION (2009) und ROUGE (2011) bilden die ersten zwei, TRAGÈDIE (2013) und AUGURI gemeinsam den dritten Teil. Diese beiden beschäftigen sich mit nichts weniger als der Menscheit an sich und bilden in den Worten Dubois’ mehr «Welterfahrung als Choreografie». TRAGÈDIE, das das Internationale Sommerfestival 2013 umjubelt eröffnet hat, beschreibt die Entwicklung des Menschen und seines Bewusstseins in großen Bildern als Tragödie. Nach der streng formalen Choreografie für 18 Tänzer*innen, die im Taumel der Katharsis endet, folgt nun mit AUGURI eine Auseinandersetzung mit diesem Freudentaumel. Dubois untersucht darin das menschliche Streben nach Glück und die Lebensfreude, indem er und seine 24 Tänzer*innen sich choreografisch mit dem Rennen, Laufen, Springen und dem kurzzeitigen Überwinden der Schwerkraft im Fliegen auseinandersetzen.

© Agence Simone

Partner / Partenaires :

Ballet du Nord – CCN Roubaix, Internationales Sommerfestival, Kampnagel, Hamburg, Biennale de Lyon, Théâtre National de Chaillot, Paris, Opéra de Lille, Grand Théâtre de Provence, Aix en Provence


Raimund Hoghe | La Valse

Uraufführung / Création :

23.-26.11.2016 / Festival d’Automne, Centre Pompidou Paris (FR)

20.-21.01.2017 / Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE)

Représentations / Aufführungen 2018 :

30.01.2018 / Théâtre de Liège (BE)

02.02.2018 / Concertgebouw de Brugge (BE)

15.02.2018 / Montpellier Danse (FR)

29.03.2018 / Rivoli Teatro Municipal, Porto (POR)

13.-14.04.2018 / Usine C, Montréal (CA)

27.-28.10.2018 / Teatros del Canal, Madrid (ESP)

www.raimundhoghe.com

"Avec « La Valse », je souhaite poursuivre ma confrontation avec les œuvres marquantes de l'histoire de la musique et de la danse.

Après « Sacre – The Rite of Spring », « Swan Lake, 4 Acts », « Boléro Variations » et « L'Après-midi », il s'agit maintenant d'une composition pour orchestre de Maurice Ravel qui a été présentée au public pour la première fois en 1920 à Paris. Ce n'est qu'en 1928 que la chorégraphe Bronislava Nijinska a réalisé un ballet en un acte sur le thème de « La Valse ».

Dans mon interprétation, je ne souhaite pas uniquement utiliser la version pour orchestre mais aussi celle pour piano. Le pianiste belge, Guy Vandromme, sera présent pour accompagner chaque représentation. D'autres valses seront aussi intégrées dans mon travail, entre autres les valses viennoises à l'origine de l'œuvre de Maurice Ravel. À l'instar de mes travaux précédents, « La Valse » sera mise au point tout d'abord lors des répétitions et son déroulement ne suivra pas une chorégraphie prédéfinie."

"Mit dem Stück „La Valse“ möchte ich die choreographische Auseinandersetzung mit bedeutenden Werken der Musik- und Tanzgeschichte fortführen. Nach „Sacre – The Rite of Spring“, „Swan Lake, 4 Acts“, „Boléro Variations“ und „L’Après-midi“ nun also Maurice Ravels Komposition, die1920 in Paris zunächst als reines Orchesterstück uraufgeführt wurde. Erst 1928 choreographierte Bronislava Nijinska ein einaktiges Ballett für Ida Rubinstein zu „La Valse“.

In meinem Stück werde ich nicht nur auf die Orchesterversion zurückgreifen, sondern auch auf die Fassung für Klavier. Der belgische Pianist Guy Vandromme wird das Stück in der Aufführung live spielen. Daneben werden auch andere Walzer in meiner Arbeit zu hören sein – unter anderem Wiener Walzer, die den Ausgangspunkt für Maurice Ravels Komposition bildeten. Wie meine bisherigen Arbeiten wird „La Valse“ erst in den Proben entwickelt und nicht nach einem vorher festgelegten Plan realisiert."

© Rosa-Frank.com

Partner / Partenaires :

La Ménagerie de Verre, Paris, Festival d’automne, Paris, Concertgebouw Brugge, Viadanse – Belfort, CNDC Angers, Ministerium für Familie, Kinder, Jugend, Kultur und Sport des Landes NRW, Kunststiftung NRW, Kulturamt der Landeshauptstadt Düsseldorf, Tanzhaus nrw


Sandra Iché | Droite-Gauche

Uraufführung / Création :

02.-03.02.2018 / Théâtre Joliette-Minoterie, Marseille | Festival Parallèle - 8 (FR)

Saison 2017/2018 / PACT Zollverein, Essen (DE)

http://wagonslibres.org

Je me pose la question de l'existence et de la nature d'un éthos de droite, français et/ou européen, que l’on pourrait caractériser par une primauté accordée au réel - ce qui existe plutôt que ce qui n'existe pas (rêve, imagination, fiction). Un réel par ailleurs caractérisé par l’inégalité de ses composantes. Inégalité qui fonde à son tour une certaine conception de l'autorité de « celui qui sait » sur « celui qui ne sait pas ».

Pour enquêter sur les trajectoires (historique, sociale, familiale, psychanalytique, sensible) qui construisent cet éthos, j’entreprendrai principalement trois tâches : une micro-histoire de ma famille, de droite ordinaire, à partir d’archives personnelles et publiques ; une série d'entretiens fictionnels avec des amis de mon père (patrons de presse, capitaines d'industrie, publicitaires…) auxquels je demanderai de me répondre « comme s’ils étaient de gauche », pour que dans l’exercice de ce déplacement, on repère comment se construit et se conçoit un adversaire politique  ; une série d’ateliers proposés à des groupes d’adolescents ou jeunes adultes dits « primo-arrivants », où nous entreprendrons une sorte de re-qualification de mots-clés tels langue, nation, république, identité, travail, argent, droite, gauche, territoire... Une question est au centre : d'où vient le geste ? La scène de théâtre, conçu comme lieu actif de possibilité d'invention/réinvention de notre présent, de nos postures et de nos convictions, opèrera comme un outil critique des opérations par lesquelles ces postures et convictions se forgent.

Ich stelle mir die Frage ob es einen „rechten Ethos“ gibt, ganz gleich ob französisch und / oder europäisch, den man als Primat der Wirklichkeit charakterisieren könnte - anders gesagt: Das, was existiert, vielmehr als das, was nicht existiert, wie Träume, Imagination und Fiktion. Eine Wirklichkeit die durch die Ungleichheit ihrer Komponenten charakterisiert wird. Ungleichheit, die auf einer bestimmten Vorstellung von Autorität des „Wissenden“ gegenüber dem „Unwissenden" beruht.

Um die historischen, sozialen, familialen, und psychoanalytischen Entwicklungsverläufe, die diesen Ethos bilden, zu ergründen, unternehme ich folgende drei Untersuchungen: Ausgehend von persönlichen und öffentlichen Dokumenten, werde ich zum einen eine mikroskopische Analyse meiner Familie durchführen, die der rechten Partei angehörig ist. Zum anderen werde ich eine Reihe von „fiktiven“ Gesprächen mit Freunden meines Vaters (Zeitungsmagnaten, Industriekapitänen, Werbefachleuten) führen, die ich darum bitte mir so zu antworten, als ob sie der linken Partei angehören würden. Diese Übung des „Hineinversetzens“ ermöglicht zu begreifen, wie ein politischer Gegner konzipiert und wahrgenommen wird. Als drittes werde ich eine Reihe von Workshops für Jugendliche und junge Erwachsene, sogenannte „primo-arrivants“ („Migranten der ersten Generation“) anbieten. Inhalte der Workshops werden Rollenspiele sein, die sich mit Schlüsselwörtern wie Sprache, Nation, Republik, Identität, Arbeit, Geld, Rechte, Linke, „Territorium“… auseinandersetzen und diese hinterfragen. Die zentrale Frage dabei lautet: Woher kommt die Bewegung? Die Theaterbühne wird dabei als ein kritisches Werkzeug genutzt, als möglicher Ort zur Erfindung unserer Gegenwart, unserer Denkweisen und Überzeugungen.

© D.R.

Partner / Partenaires : 

La Villette, Paris, PACT Zollverein, Festival Parallèle / KOMM'N'ACT, La Passerelle, scène nationale, Gap, Fondation Camargo / Labexmed


Leyla-Claire Rabih & Theater an der Parkaue - Junges Staatstheater Berlin | En finir avec Eddy Bellegueule / Das Ende von Eddy

Uraufführung / Création :

13.06.2017 / Theater an der Parkaue - Junges Staatstheater Berlin (DE)

21.-22.11.2017 / CDN Nancy Lorraine, Théâtre de la Manufacture / Festival Neue Stücke (FR)

www.parkaue.de

Ça sent le poisson. La télé est allumée. Les poings du père d'Eddy Bellegueule ont laissé des bosses dans les murs. Il nous confronte impitoyablement au monde de son enfance : Les vrais mecs ne pleurent pas. Les vrais mecs jouent au football. Les vrais mecs aiment les filles. Eddy embrasse aussi les filles, mais ça ne marche pas : Eddy est différent. Il n'y a pas de place pour lui dans ce monde. Il doit fuir. 

Dans son roman autobiographique, Édouard Louis révèle toutes les luttes d'un garçon homosexuel issu d’un milieu en difficulté. Réduite à une surface noire et carrée, la mise en scène de Leyla-Claire Rabih se concentre sur le langage. Les quatre acteurs*trices changent sans cesse de rôle et de perspective, sont tantôt narrateurs*trices, tantôt personnages, tantôt victimes, tantôt auteurs*trices. Ensemble, de façon dense et vivante, ils créent l'étroitesse sociale et émotionnelle de l'enfance d'Eddy Bellegueule.

Es riecht nach Fisch. Der Fernseher läuft. Die Fäuste von Eddy Bellegueules Vater haben Dellen in den Wänden hinterlassen. Schonungslos konfrontiert er uns mit der Welt seiner Kindheit: Echte Kerle weinen nicht. Echte Kerle spielen Fußball. Echte Kerle lieben Mädchen. Auch Eddy küsst Mädchen, aber es funktioniert nicht: Eddy ist anders. In dieser Welt ist kein Platz für ihn. Er muss fliehen. 

Édouard Louis legt in seinem autobiographischen Roman alle Kämpfe eines homosexuellen Jungen aus armen Verhältnissen offen. Reduziert auf eine schwarze, viereckige Fläche steht in der Inszenierung von Leyla-Claire Rabih die Sprache im Fokus. Alle vier Schauspieler*innen wechseln immer wieder die Rollen und Perspektiven, sind mal Erzähler*in, mal Figur, mal Opfer, mal Täter*in. Dicht und lebendig lassen sie gemeinsam die soziale und emotionale Enge von Eddy Bellegueules Kindheit entstehen. 

 Partner / Partenaires : 

Theater an der Parkaue – Junges Staatstheater Berlin, Centre Dramatique National Nancy Lorraine, Théâtre de la Manufacture / Festival Neue Stücke


Cie Un loup pour l’Homme | Rare birds

Uraufführung / Création :

23.-25.03.2017 /  Festival Spring  | La Brèche-Pôle National Cirque de Normandie, Cherbourg-en-Cotentin mit / avec le Trident, Scène Nationale (FR)

02.-04.06.2017 / Festival Perspectives, Saabrücken (DE) 

Représentations / Vorstellungen 2018-2019 :

22.-23.02.2018 / Le Manège de Reims (FR) – En cirque d’hiver

09.-11 / 16.-18. / 20. / 22.-25.03.2018 /Théâtre Firmin Gémier / La Piscine, Antony (FR) – En chapiteau

22.-23.02.2018 / Le manège de Reims (FR) - En cirque d’hiver

9, 10, 11, 16, 17, 18, 23, 24, 25.03.2018 / Théâtre Firmin Gémier / La Piscine – Antony (FR) - En chapiteau

07.-09.06.2018 / Théatre de Poche, Hédé-Bazouges (FR) – en chapiteau

06.2018 / CRABB Festival Rue des Étoiles (FR)

10.2018 / Festival Circolo, Tillburg (NL)

24.-26.01.2019 / Scènes du Jura, Lons-le-Saunier (FR)

31.01.-01.02.2019 / Biennale Internationale des Arts du Cirque, Le Merlan, Scène nationale de Marseille (FR)

12.-13.03.2019 / Le Grand R - La Roche sur Yon (FR)

16.-17.03.2019 / Le Moulin du Roc - Niort (FR)

19.-24.03.2019 / AY-ROOP – Temps Fort Arts du Cirque, Rennes (FR)

www.unlouppourlhomme.com

Cette création s’inscrit dans la droite ligne de la recherche artistique de la compagnie.

Réunissant 7 acrobates et danseurs, nous nous proposons de réinventer le langage acrobatique en redéfinissant d’abord une pratique. Nous nous appuyons sur des méthodes d'improvisation et d'écriture issues de la danse pour réouvrir le travail de l'acrobate, trop enfermé dans des habitudes gymniques.

Il s'agit de reformuler notre concept de limite, en postulant cette fois l'acrobate comme quelqu'un qui s'adapte. Volonté d'équilibre et de mobilité plutôt que statique désir de puissance. Inspiration végétale plutôt que minérale. Contourner ou éviter, plutôt que passer en force.

Nous accordons aussi une attention particulière au temps, à la durée. Penser en termes d'évolution, de transformation, plutôt que d'images figées à un instant T. D'un point de vue du sport, on quitterait l'endroit du sprint pour une distance de fond.

Nous reconsidérons la composition, en nous réappropriant des écritures plus ciselées, où la maîtrise offre des possibilités de vitesse et de liberté d'interprétation. Enfin, nous tendons vers une virtuosité de la simplicité, où se repose aussi la question de l'avènement de la beauté.

Cette pièce se jouera dans une scénographie circulaire, principalement sous chapiteau.

Das Stück setzt die bisherigen künstlerischen Recherchen der Kompanie fort.

Wir bringen 7 Akrobaten und Tänzer zusammen und wollen die Sprache der Akrobatik neu definieren, indem wir zu aller erst unsere Praxis neu bestimmen. Dabei stützten wir uns auf Improvisationsmethoden und Arbeitsweisen, die aus dem Tanz kommen, um der Arbeit des Akrobaten, der zu sehr an festgelegten gymnastischen Körperpraktiken festhält, neue Horizonte zu öffnen.

Es geht darum, unsere Grenzen neu zu bestimmen, indem wir hier den Akrobaten als jemanden sehen, der anpassungsfähig bleibt. Es ist ein Streben nach Gleichgewicht und Beweglichkeit anstatt der Wunsch nach statischer Kraft. Die Inspiration liegt eher im „pflanzlichen“ als im „mineralischen“. Es geht mehr um das Umgehen oder ein Ausweichen, als um ein von Kraft abhängiges Festhalten.

Wir richten darüber hinaus eine besondere Aufmerksamkeit auf die Zeitlichkeit, die Dauer. Denken eher in Begrifflichkeiten der Weiterentwicklung, der Veränderung, anstatt in momentanen festgefrorenen Bildern. Auf eine Ebene des Sportwettkampfs übertragen, verlassen wir den Schauplatz des „Sprints“ und gehen über zum „Ausdauerlauf“.

Wir definieren den Begriff die Komposition neu, indem wir ausgefeilte künstlerische Schreibweisen anwenden, die unterschiedliche Geschwindigkeiten und Interpretationsfreiheiten zulassen. Tatsächlich streben wir eine Virtuosität der Einfachheit an, in der sich auch die Frage nach dem Geburt der Schönheit stellt.

Dieses Stück wird im runden Bühnenraum gespielt, vor allem im Zirkuszelt.

© Un loup pour l’homme

Partner / Partenaires :

Plateforme 2 Pôles Cirque en Normandie / La Brèche à Cherbourg-en-Cotentin – Cirque-Théâtre d’Elbeuf ; Culture Commune / Scène Nationale du Bassin Minier du Pas-de-Calais ; CIRCa, Pôle National Cirque, Auch Gers Occitanie ; Tandem Scène Nationale ; le Bateau Feu – Scène Nationale Dunkerque ; Théâtre Firmin Gémier / La Piscine – Pôle National des Arts du Cirque d’Antony et de Châtenay-Malabry ; Le Manège – Scène Nationale Reims ; Theater op de Markt – Neerpelt ; Cirque Jules Verne – PNC / Pôle National Cirque et Arts de la rue / Amiens ; Fabrik – Potsdam ; Festival Perspectives – Festival Franco-Allemand des Arts de la Scène – Sarrebrück ; La Villette ; Association Rue des Arts, avec le soutien de la DRAC Bretagne ; Festival Pisteurs d’étoiles / Espace Athic, Obernai.


Mickaël Phelippeau & Theater Freiburg | Mit Daudi

Uraufführung / Création

31.03.-02.04.2017 / Theater Freiburg (DE)

Saison 2018/2019 / Le Merlan, Marseille (FR)

Représentations / Aufführungen

31.03.-02.04.2017 / Theater Freiburg (DE)

22.-23.04.2017 / Kampnagel, Hamburg (DE)

07.09.2019 / Festival Tanztheater International, Hanovre (DE)

18.11.2017 / Festival Migrant’scene, Théâtre Louis Aragon, Tremblay en France (FR)

 www.bi-portrait.net

Mickaël Phelippeau pense le bi-portrait comme une démarche de rencontre, plutôt qu’un projet. Sa méthode chorégraphique bi portrait est avant tout un désir d’aller vers. Le bi-portrait est géographique, il se développe toujours en fonction d’un contexte, il se déploie en réseaux, en fonction des liens que génèrent les gens, tout ayant une conséquence sur la poursuite des autres portraits.

„Daudi“ sera le bi portraits d´un jeune homme de 21ans de Ouganda qui vit depuis 2011 à Freiburg. „Daudi“, comme les autres bi-portraits, tourne autour de la question: comment chacun est porteur de sa propre histoire?

Le théâtre de Freiburg invite Mickaël Phelippeau à se joindre au projet „ERBDEPOT“, une collaboration entre le Théâtre de Freiburg et le Musée d´Art Moderne, sur l´archivage et la possession du patrimoine culturel. Comme les bi-portraits, le „ERBDEPOT“ génère des méthodes d´implication, de passation et de partage entre artistes et spectateurs qui se rencontreront du 24.3 au 30.4.2017.

Für Mickaël Phelippeau ist das bi-portrait ein Vorgang der Begegnung. Seine choreografische Methode bi-portrait entspringt primär dem Bedürfnis des Entgegenkommens. Das bi-portrait ist geografisch, es entwickelt sich stets kontextgebunden, netzwerkartig und immer aufgrund der Beziehung, die sich aus den Begegnungen ergibt. Es hat immer eine Konzequenz für das Folge-bi-portrait.

„Daudi“ wird das bi-portrait eines aus Uganda stammenden 21jährigen Mannes sein, der seit 2011 in Freiburg lebt. So wie die anderen bi-portraits, widmet sich „Daudi“ der Frage: wie ist man Träger seiner eigenen Geschichte?

Das Theater Freiburg lädt Mickaël Phelippeau ein, im Rahmen des Projektes „ERBDEPOT“ über Archivierung und Besitz von kulturellem Erbe zu forschen (eine Kollaboration zwischen dem Theater und dem Museum für Neue Kunst im März-April 2017). So wie die bi-portraits, generiert das „ERBDEPOT“ Methoden der Implikation, der Weitergabe und der Teilung zwischen Künstler und Zuschauer.

 

Partner / Partenaires :

Theater Freiburg, Museum für Neue Kunst Freiburg, Kampnagel Hamburg, Le Merlan Marseille


Pol Pi | ECCE (H)OMO

Uraufführung / Création

21.-23.03.2017 / Centre National de la Danse, Pantin (FR)

17.02.2018 / PACT Zollverein, Essen (DE)

http://bureauproduire.com/artiste/paula-pi/

ECCE (H)OMO – Black and White est un projet autour du cycle de danses «Afectos Humanos», de la chorégraphe allemande Dore Hoyer (1911-1967). Ce cycle consiste en un ensemble de cinq courts solos autour du thème des affects humains: Orgueil/Vanité, Avidité, Haine, Peur et Amour.

Se pencher sur la danse d'autrui est une démarche aussi passionante que longue. Ça met en lumière les rapports aux temporalités et ça prend du temps. J'ai commencé à travailler autour de ces solos au sein du master e.x.er.ce, en avril 2014, et plus je passe mon temps à cotôyer ces danses, plus la création d'une pièce autour de ce cycle devient l'envie de donner à voir ce propre processus de quête d'intimité avec quelque chose qui m'était au départ complètement étrangère. ECCE (H)OMO est une création qui veut mettre en scène un objet hybride et surtout ouvert, une oeuvre se veut toujours en cours, navigant entre documentaire, performance, concert, conférence, spectacle, recherche en train de se faire. ECCE (H)OMO est le désir de réfléchir à la question de l'archive en danse par la scène, un désir de chercher sa danse dans la danse de quelqu'un d'autre (comme dirait Loïc Touzé).

ECCE (H)OMO – Black and White ist eine Arbeit über der Tanzzyklus « Afectos Humanos » von der Deutschen Choreographin Dore Hoyer (1911 – 1967). Die Choreographie basiert auf 5 kurzen Solos rund um das Thema Menschliche Leidenschaften: Ehre/Eitelkeit, Begierde, Hass, Angst und Liebe.

Sich auf die Choreographie eines anderen Menschen zu stützen ist ein langwieriger, jedoch faszinierender Prozess. Er beleuchtet die Beziehung der geschichtlichen Verankerung und beansprucht eine intensive Auseinandersetzung mit der Materie. Ich habe während meines Master Studiengangs (e.x.e.r.c.e) im April 2014 damit begonnen mich mit den Solos zu beschäftigen. Je mehr Zeit ich mit den Tänzen verbracht habe, desto mehr wuchs in mir der Wunsch eine Arbeit zu entwickeln die den Prozess der Annäherung mit den anfangs noch fremden Tänzen aufzeigt. ECCE (H)OMO ist eine Kreation die ein hybride und offene Form in Szene setzten möchte. Eine Arbeit die zwischen einer Dokumentation, einer Performance, einem Konzert, einer Konferenz, einem Schauspiel, einer Recherche navigieren und entstehen möchte. ECCE (H)OMO äußert den Wunsch sich auf der Bühne mit der Frage von Archivierung von Tanz zu beschäftigen. Oder wie Loïc Touzé sagen würde: Eine Suche nach seinem Tanz in dem Tanz von jemandem anderen.

© Arthur Eskenasi; Bettina Blanc Penther; Marc Domage

Partner / Partenaires :

ICI-CCn Montpellier, Honolulu, Nantes, CCN de Nantes, Centre National de la Danse, PACT Zollverein, Life long Burning, Théâtre de Poche de Hédé Bazouges


s-h-i-f-t-s – art in movement | Yes No Maybe

Uraufführung / Création

2017 / Les Hivernales, Avignon ( FR)

13.01.2018 / Festival Made in Potsdam, fabrik Potsdam (DE)

www.s-h-i-f-t-s.org

Malgven Gerbes et Eva Karczag se sont rencontrées à l’EDDC, « European Dance Development Center » à Arnhem, aux Pays-Bas. Depuis cette première rencontre, elles continuent d’échanger chaque année lors de "rencontres en mouvements", un dialogue artistique, dansé, qu'elles poursuivent depuis les 10 dernières années. Eva, pendant 6 ans danseuse de la Trisha Brown Dance Company, est une des personnalités incarnant les fondamentaux de la danse contemporaine. Elle est attachée à l'image d’un corps libéré des codes de la danse pour créer un espace pour le mouvement non stéréotypé.

REVISIT s’intéresse à la question du patrimoine corporel, et notamment à la question de l’expérience du corps en mouvement - Un échange avec une danseuse, qui a consacré plus de 40 années de recherche au domaine du « patrimoine culturel corporel » et une analyse à travers les filtres d’une étude historique, sociale et culturelle.

Malgven Gerbes und Eva Karczag lernten sich im „European Dance Development Center“ in Arnheim, kennen. Seitdem führen sie einen künstlerischen Dialog, „Begegnungen in Bewegung“. Eva gehörte zu den maßgeblichen Tänzerinnen der Trisha Brown Company. Sie ist eine der tragenden Persönlichkeiten des zeitgenössischen Tanzes. Sie hat sich für einen radikal von den Tanzcodes befreiten Körper eingesetzt, um Raum für nicht-stereotype Bewegung zu schaffen.

REVISIT beschäftigt sich mit der Frage nach dem Erbe des Körperwissens. Unser Interesse richtet sich auf die Erfahrungen des Körpers in Bewegung. Es geht um einen Austausch mit einer Künstlerin, die seit mehr als 40 Jahren auf dem Gebiet des „körperlichen Kulturerbes“ forscht mit mannigfaltigen historischen, sozialen und kulturellen Kontexten.

© David Brandstätter

Partner / Partenaires :

fabrik Potsdam, La Rive Gauche, St Etienne du Rouvray, ArtEZ, Pays-Bas, Le Centre chorégraphique National du Havre, Normandie, Les Hivernales d’Avignon, Tanzfabrik Berlin


Nadia Beugré | Tapis Rouge

Uraufführung / Création

24.01.2017 / Vivat la Danse ! | Le Vivat scène conventionnée, Armentières (FR) 

Saison 2017/2018 / Staatstheater Darmstadt (DE)

Représentations / Aufführungen 2018-2019

04.-05.10.2018, Le Quartz, Brest (FR)

07.04.2019, Festival Timbuktu is back !, HAU Hebbel am Ufer, Berlin (DE)

http://latitudescontemporaines.com/production/nadia-beugre/

Inversant les étapes d’une investigation, Nadia Beugré, Seb Martel et Adonis Nebié nous traînent dans un voyage peuplé d’images que l’on choisit souvent de ne pas voir et que l’on garde soigneusement à distance de nos corps et pensées, sous couvert de l’ignorance feinte et démagogique des puissants.

Installation sonore et plastique, performance viscérale et violente, Tapis Rouge oppose et met en vis-à-vis 2 mondes qui s’ignorent mais qui demeurent inexorablement liés et où le quotidien sordide des survivants de l’un déborde et salit les pieds et les mains des occupants de l’autre.

Les cris étouffés qui hantent les sombres tréfonds miniers des terres pillées de ce monde résonnent soudain à lasurface crue du tapis de sang où règnent des magnats hissés par la masse au sommet des pyramides des pouvoirs culturel, religieux, politique, économique

Tapis Rouge ist die neue Kreation von der französisch-ivorischen Choreografin Nadia Beugré. Sie basiert auf der Kurzfassung, die für das Sujet à Vif im Rahmen des Festival von Avignon 2014 entwickelt wurde. 

Vom antiken Klerus bis zum modernen Star dient der rote Teppich als heiliger Weg und isolierende Schutzschicht vor dem Kontakt mit dem Boden. Nadia Beugré spricht von der Ober- und der Unterseite des Teppichs. Unten, Afrika. Untermalt von dem Komponisten und Guitarristen Seb Martel erkundetet Nadia Beugré die Spannungen zwischen einem künstlichen heiligen Körper und einem von unmenschlicher Arbeit geschundenen Körper. Diese Duo, das im Januar 2017 kreiert wird, bemängelt die Torturen und die Arbeitsbedinungen in Afrika und lädt das Publikum ein den Teppich für diejenigen von Unten auszurollen.

Partner / Partenaires :

Le Vivat, Scène Conventionnée danse et théâtre, Armentières | Musée de la danse, Centre Chorégraphique National de Rennes | Festival d’Automne, Paris | Théâtre Garonne, Toulouse | BIT Teatergarasjen, Bergen | La Bâtie, Festival de Genève | Festival Montpellier Danse 2017 | Le Parvis Scène Nationale, Tarbes


2015

LAURÉATS / GEFÖRDERTE PROJEKTE

 

Paula Rosolen | Aerobics! Ein Ballett in 3 Akten

Ivanna Müller | Edges

Jarg Pataki | Ich schaue dich an (Je te regarde)

HeadFeedHands (Allemagne / Deutschland), Cirque de Loin (Suisse / Schweiz) et Cie Mauvais Coton (France / Frankreich) | Strada!

Qudus Onikeku | WE ALMOST FORGOT

Day-for-night / Cie Anne Monfort | No(s) Révolution(s)

Julia Christ | Le coin de l'âme / Soulcorner


Paula Rosolen | Aerobics! Ein Ballett in 3 Akten

 

Koproduktion mit/ Coproduction avec : Théâtre de la Ville (Paris), Musée de la Danse (Rennes), Sophiensaele (Berlin), Künstlerhaus Mousonturm (Francfort/ Frankfurt). 

Mit der Unterstützung von/ Projet soutenu par : Hauptstadtkulturfonds (Berlin), Kulturamt (Francfort/ Frankfurt), Hessisches Ministerium für Wissenschaft und Kunst von Deutschland.

 

„Aerobics! – Ein Ballett  in 3 Akten“ nimmt Bewegungen von Aerobic‐der Sport- bzw. Trainingsmethode  mit  ihrem militärisch­disziplinierenden Ansatz, die in den 80er  Jahren blühte und sich weit verbreitete aufgrund ihrer Resonanz mit dem Zeitgeist – Effektivität, Produktivität, Workaholism‐und verwandelt sie in ein Tanzstück.
Das Ziel ist weder Aerobicunterricht auf der Bühne zu zeigen noch einen Aerobic-Wettbewerb, sondern Ziel ist eine exakte  Studie und  Neuinterpretation der unter der Oberfläche liegenden Struktur dieser Disziplin. Grundlegende Bewegungen werden aufgenommen, verändert, neugeordnet und so offen für neue Bedeutung.  
Sieben Tänzer auf der Bühne erforschen das Verhältnis von Tanz, Choreografie und Aerobic im Hinblick auf Ästhetik und Bewegungskoordination. Das Bewegungsvokabular von Aerobic wird in eine ungewohnte räumliche Beziehung gebracht, „zerlegt“, und es wird verwandt als Tanzmaterial für eine Choreografie mit einer dramaturgischen Linie und Inhalten für Bewegungsentwicklung und Rhythmuswechsel.

Kalender: 
1er septembre 2015 / Théâtre des Abbesses, Paris (FR)

2.-5. September 2015 / Théâtre des Abbesses, Paris (FR)

1.-4. Oktober 2015 / Sophiensaele, Berlin (DE)

21.-23. Oktober 2015 / Mousonturm, Francfort (DE)

26.-28. Oktober 2015 / Kondez Festival de Belgrade (SE)

19. Februar 2016 / Schloss Bellevue, Berlin (DE)

03.-04. März 2016 / Tanzplattform Deutschland, Kurtheater Bad Homburg (DE)

15. April 2016 / BOUGE B 2016 –Festival for Dance and performance, Internationale Kunstzentrum deSinguel, Antwerpen (BE)

01.-02. September 2016 / Theaterfestival Basel (CH)

13.-14. Oktober 2018 / Dance News Air 2018, Tokio (J) Serbien) 

Au secours ! Véronique et Davina reviennent… Auriez-vous déjà oublié les légendaires animatrices de l’émission télévisée Gym Tonic dans les années 1980 ? Vous pouvez compter sur la chorégraphe allemande Paula Rosolen pour vous rafraîchir la mémoire… 

En juin 2014, les spectateurs de Danse Élargie ont vu débouler un bataillon de cinq danseurs (dont l’un rondouillet à souhait) en baskets, shorts et tee-shirts, dans un assortiment de couleurs allant du jaune vif au violet, enchaîner face au public levers de jambes et de bras. Synchronicité parfaite, avecun zeste d’humour malicieux en prime : il  n’en fallait pas plus pour conquérir le 1er prix de Danse Élargie.

En trois actes et pour sept danseurs, Paula Rosolen a aujourd’hui développé son ouvrage, faisant d’AEROBICS! Le premier « ballet fitness » de l’histoire de la danse.

Texte : Jean-Marc Adolphe | THÉÂTRE DE LA VILLE  


Calendrier : 
1er septembre 2015 / Théâtre des Abbesses, Paris (FR)

2-5 septembre 2015 / Théâtre des Abbesses, Paris (FR)

1-4 octobre 2015 / Sophiensaele, Berlin (DE)

21, 22, 23 octobre 2015 / Mousonturm, Francfort (DE)

26 au 28 octobre 2015 / Kondez Festival de Belgrade (SE)

19 février 2016 / Schloss Bellevue, Berlin (DE)

03.-04 mars 2016 / Tanzplattform Deutschland, Kurtheater Bad Homburg (DE)

15 avril 2016 / BOUGE B 2016 –Festival for Dance and performance, Internationale Kunstzentrum deSinguel, Antwerpen (BE)

01.-02 septembre 2016 / Theaterfestival Basel (CH)

13 et 14. octobre 2018 / Dance News Air 2018, Tokio (J)


 

Ivanna Müller | Edges

Produktion/ Production I’M’COMPANY
Koproduktion/ Coproduction Musée de la danse - Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne (FR) / La Villette - Résidences d’artistes 2015, Paris (FR) / HAU Hebbel am Ufer, Berlin (DE) / BUDA Centre culturel, Courtrai (BE) / fabrik Potsdam, Potsdam (DE) / Pôle Sud, Centre de développement chorégraphique, Strasbourg (FR) / SZENE Salzburg supported by apap-advanced performing arts project and the European Union
Mit der Unterstützung von/ Avec le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) d’Ile-de-France - Ministère de la Culture et de la Communication au titre de l’aide à la création / du Fonds Transfabrik - Fonds franco-allemand pour le spectacle vivant (DE/FR), et de la Ménagerie de Verre / Studiolab, Paris (FR)

 

Edges is a group performance that explores the notions of ‘marginal’ and ‘central’, ‘visible’ and ‘invisible’ and through this process enhances the reflection on the idea of ‘perspective’ and ‘point of view’.
The place of theatre is one where viewpoints are formed constantly, both in the choices of what we make visible or invisible and in opinions, ideas, sensations that we possibly create/suggest with what we make visible. By giving a lot of ‘visibility’ to something or someone, we give it a certain sort of power and attention. By letting something being hardly visible we place it on the edges of interest... But even though we are maybe not actively looking at it, it is still there, it still exists and it still influences our ways of seeing or being.
Putting something into ‘light’ or into ‘darkness’ is a movement that belongs both to the practice of theatre but also to the history of ideas.
In Edges this reflection gets translated into a play that stages a group of ‘background artists’ at work. During the entire piece we don’t see the ‘main actors’ but follow movements, gestures and viewpoints of the ‘corps de figurants’ who are, in contrast to most of the contemporary pieces, here performed by professional performers.
Edges proposes a journey through a landscape made of images, stories and sounds which continues to empower spectators’ gaze, creating a frame for imagining the visible and listening to the invisible.

 

Gründung des Projekts: 
30. September - 11. Oktober 2015: Residenz in la Villette, Aufführung im Rahmen des Focus Tanz Onda am 8. Oktober.
13. - 21. Oktober 2015: Residenz im Musée de la Danse CCNRB in Rennes, Aufführung am 23. Oktober 2015. 
2. - 18. Januar 2016: Residenz im BUDA in Courtrai (Belgien).

Kalender: 
20. Januar 2016 - Tanzszene in Salzburg (Österreich)
29. & 30. Januar: fabrik Potsdam (Potsdam)
26. Februar im BUDA Courtrai (Belgien)
22. - 24. März 2016 in La Villette (Paris)
Mai 2016 im Hebbel am Ufer (Berlin)
Pôle Sud (Straßburg)

Avec Edges, Ivana Müller porte son attention sur les marges de la scène, donnant le rôle principal à ceux qui sont souvent peu éclairés, formant une partition de récits, d’actions et de regards, qui nous laissent imaginer le visible et écouter l’invisible. Voix sans corps, corps sans voix: fragments de textes et séquences de gestes se recombinent ou s’échangent entre les 6 interprètes, invitant le spectateur à imaginer et s’engager dans une réflexion sur la place et l’importance des « figurants » sur scène et dans la société.



Création du projet : 
30 septembre - 11 octobre 2015 : Résidence à la Villette, présentation du travail dans le cadre du Focus Danse Onda le 8 octobre.
13 - 21 octobre 2015 : Résidence au Musée de la Danse CCNRB de Rennes, ouverture du studio le 23 octobre. 
2 - 18 janvier 2016 : Résidence au BUDA de Courtrai (Belgique)

Calendrier : 
20 janvier 2016 - Tanzszene à Salzbourg en Autriche.
29 & 30 janvier: fabrik Potsdam (Potsdam)
26 février à BUDA Courtrai (Belgique)
22 - 24 mars 2016 à la Villette (Paris)
Mai 2016 au Hebbel am Ufer (Berlin)
Pôle Sud (Strasbourg)

©Nils de Coster

© Nils de Coster


 

Jarg Pataki | Ich schaue dich an (Je te regarde)

Koproduktion und Zusammenarbeit mit/ Coproduction et partenariat avec : La Filature (Mülhausen/ Scène nationale de Mulhouse), TJP, Centre dramatique national (Straßburg/Strasbourg), Theater Freiburg (Freiburg/ Fribourg)

 

In einer Art Science-Fiction-Welt – die jedoch unsere Welt schon verwirrend ähnlich sieht – suchen vier Figuren nach einem Sinn für ihr Leben, zu einer Zeit, in der sich menschliche Beziehungen nur noch über soziale Netzwerke, Webcams, Überwachungskameras, Navigationsprogramme und Geolokalisierung, sowie andere Internet-Apps erkunden lassen.

Die junge franzosische, aus Rumänien stammende Autorin Alexandra Badea arbeitet mit diesem Stück weiter an die Reflexion über die Effekte der Globalisierung und der Digitalisierung , die unseren Alltag bestimmen.

Je te regarde (Ich schaue dich an) zeigt einen Angestellten eines Großkonzern, eine Gefängniswärterin, eine jungdynamische leitende Angestellte und den Sicherheitsbeamten eines Flughafens, die mit ihren Gefühlen nicht zurande kommen,- in einer Welt, die sie beobachten und überwachen, in der sie jedoch genauso beobachtet und überwacht werden. Der ihnen eigene Raum ist ein abstrakter Ort, eine Art inneres Gefängnis, in dem sich öffentliches und intimes Leben eng vermischen.

Der Regisseur Jarg Pataki wurde an der berühmten Berliner Ernst-Busch-Akademie ausgebildet und lässt Schauspiele aus seltsame Objekte und Marionetten treffen, welche ihre (sowie unsere) Sinneseindrücke herausfordern und den Bezug zu der uns immer beherrschenden digitalen hinterfragen. Es ist ein beunruhigender Blick auf unsere Einsamkeit und unsere neue Art und Weise, auf andere zuzugehen.

Kalender:
17. Oktober 2015: Premiere im Theater Freiburg.
20., 21. Oktober et 11., 14. et 15. November 2015 im Theater Freiburg.
8. - 10. März 2016 in Mülhausen.
12. - 14. März 2016 in Straßburg. 

Dans un univers d´anticipation – et qui pourtant ressemble déjà de façon troublante à notre réalité quotidienne – 4 personnages cherchent un sens à leur vie à l´heure où les rapports humains ne s´expérimentent plus qu´à travers réseaux sociaux, webcams, caméras de surveillance, logiciels de géolocalisation et autres applications internet.

La jeune auteur française d´origine roumaine Alexandra Badea poursuit avec cette nouvelle pièce sa réflexion sur les effets de la mondialisation et de la dématérialisation numérique qui affectent nos vies au quotidien.

Je te regarde voit un employé d´une multinationale, une gardienne de prison, une jeune cadre dynamique et un agent de sécurité d´aéroport aux prises avec leurs sentiments dans un univers qu´ils surveillent, tout en étant eux-mêmes surveillés. L´espace qui est le leur est un lieu abstrait, véritable prison intérieure où vie publique et vie intime se retrouvent étroitement mêlées.

Formé à la prestigieuse école Ernst Busch de Berlin, le metteur en scène Jarg Pataki associe aux comédiens d´étranges objets et marionnettes qui en défiant leurs perceptions ainsi que les nôtres, viennent remettre en question notre appréhension d´une réalité virtuelle de plus en plus prégnante. Un regard troublant sur notre rapport à la solitude et à nos nouvelles façons d´Aller à la rencontre de l´Autre. 


Calendrier :
17 octobre 2015 : Première au Theater Freiburg.
20, 21 octobre et 11, 14 et 15 novembre 2015 au Theater Freiburg.
8 - 10 mars 2016 à Mulhouse.
12 - 14 mars 2016 à Strasbourg. 

 

© M. Korbel


 

HeadFeedHands (Allemagne / Deutschland), Cirque de Loin (Suisse / Schweiz) et Cie Mauvais Coton (France / Frankreich) | Strada! 

Koproduktion mit/ En coproduction avec : E-Werk Freiburg (Freiburg/ Fribourg), Tollhaus Karlsruhe (Karlsruhe), Theaterhaus Stuttgart (Stuttgart). 

Inspiriert von Federico Fellinis Filmklassiker „La Strada“ (1954) bringt die Kompanie HeadFeedHands (Freiburg/Köln) gemeinsam mit dem Schweizer Cirque de Loin (Zürich/St. Gallen) und der französischen Kompanie Mauvais Coton (Saint-Montan) ein irrwitziges Stück Nouveau Cirque auf die Bühne. In einer kaum zu kategorisieren den Mischung aus Zirkus, Theater, Musik und Tanz erkundet STRADA! die emotionalen Verflechtungen dreier Figuren: eines alternden Straßengauklers, seiner naivunschuldigen Assistentin und seines Rivalen. Eine zirzensische Reise ins Innerste der Seele beginnt: Unerfüllte Wünsche, schwelende Sehnsüchte, unheilvolle Abhängigkeiten und Ängste sind die Parameter, zwischen denen sich die sieben internationalen Performer bewegen. Im Spiel mit den Stereotypen ziehen die Figuren die Zuschauer in ihren Bann: zwischen alter Gauklertradition und Neuem Zirkus, mit Live-Musik und spektakulärer Artistik. Ein schillerndes Tableau des Lebens entsteht.

Kalendar: 
10., 11., 16., 17., 18., 23., 24., 25. Oktober im E-Werk in Freiburg.
30. - 31. Oktober im Tollhaus in Karlsruhe.
4. - 5. November in der Studiobühne in Köln.
8., 9., 10., 12. Dezember in Lokremise St Gallen.

Dans un mélange explosif et incantatoire de cirque, de théâtre, de danse et de musique live, sept artistes internationaux vivent sur les planches un drame relationnel riche en émotions. STRADA ! est un spectacle fou issu de la nouvelle formation de la Compagnie HeadFeedHands (Fribourg/Cologne) en collaboration avec les Suisses du Cirque de Loin (Zurich) et les Français de la Compagnie Mauvais Coton (Saint Montan). Inspirée de « La Strada » (1954), le film culte de Fellini, la pièce embarque son public dans un voyage burlesque au coeur de l’âme humaine : un saltimbanque grossier découvre l’amour ; son innocente et naïve assistante gagne son indépendance ; une veuve explore ses désirs et un acrobate trouve une mort prématurée. Se jouant des stéréotypes, les personnages tiennent le spectateur en haleine, en naviguant entre la tradition foraine, le Nouveau Cirque, la musique live et les acrobaties spectaculaires.



Calendrier : 
10, 11, 16, 17, 18, 23, 24, 25 octobre à la E-Werk de Freiburg.
30 - 31 octobre à Tollhaus de Karlsruhe.
4 - 5 Novembre à la Studiobühne de Cologne.
8, 9, 10, 12 décembre à Lokremise St Gallen.

 

© Lucia Gerhardt


Qudus Onikeku | WE ALMOST FORGOT

Koproduktion mit/ En coproduction avec : Parc de la Villette (Paris), Baullhaus Naunynstrasse (Berlin).

Qudus Onikeku, nigerianischer Tänzer und Choreograf der Pariser Gruppe YK Projects, und Wagner Carvalho, Leiter des Theaters Ballhaus Naunynstraße, wollen sich in ihrer Zusammenarbeit sowohl den Themen der afrikanischen Diaspora widmen, der Frage nach Erinnerung, dem kollektiven Gedächtnis, der politischen und sozialen Verantwortung als auch die Repräsentativität der Kunst gegenüber dieser Problematiken. How do we attain Grace within the muffling burden of memories? How do we talk about trauma when there are no words, when all we have is repressed body memories? How do we remember when amnesia is preferred to nostalgia? Lest we forget totally, one could only imagine the sort of human society such attitude breeds.

In Residenz vom November 2015 zum Juni 2016 in Europa und zwei Woche in Libreville (Nigeria)
Premiere am 17. Juni 2016 im Ballhaus Naunynstrasse (Berlin).

Qudus Onikeku, danseur et chorégraphe nigérian de la compagnie YK Projects basée à Paris, partage avec Wagner Carvalho, directeur du Ballhaus Naunynstrasse - Berlin, une préoccupation pour la diaspora africaine, les questions de mémoires, de conscience collective, de responsabilité politique et sociale, et la représentativité de l’art face à ces problématiques.

Peut-on faire d’un souvenir lourd, enfoui et étouffant un objet léger et gracieux? Comment parler de ses blessures quand on ne trouve pas les mots et que tout ce qui reste est un corps marqué du souvenir refoulé ? Comment ne pas préférer l’amnésie à la nostalgie ? Que serait une société sans mémoire ?

En résidence de novembre 2015 à juin 2016 en Europe et deux semaines à Libreville au Nigeria.
Première le 17 juin 2016 à la Ballhaus Naunynstrasse de Berlin.


 

Day-for-night / Cie Anne Monfort | No(s) Révolution(s)

Koproduktion und Zusammenarbeit mit/ En coproduction ou partenariat avec:

Le Granit – Scène Nationale de Belfort (FR); Le CDN de Besançon (FR); Le Théâtre Paul Eluard, Scène conventionnée de Choisy-le-Roi (FR); Le Nouveau Relax - Scène conventionnée de Chaumont (FR); Le DSN, Scène nationale de Dieppe (FR); Le Théâtre Jean Lurçat, Scène nationale d'Aubusson (FR); Théâtre de Thouars, Scène conventionnée (FR); Ballhaus Ost – Berlin (DE); L'Institut Français dans le cadre du dispositif  Théâtre Export; 31 Juin Films; Théâtre Paris-Villette; Goethe Institut Paris; Collectivo 84 (PO); L'Institut Français du Portugal, Maria Manuel, Maria Joao Santos, Stage One (PO); Fonds SACD théâtre; Aide à la création du CNT; Tine Elbel, Katja Kettner (DE)

 

In einem verlassenen Ballhaus, vier Schauspieler, Anne, Claude, Anna und Sara- zwei Franzosen, eine Deutsche, eine Portugiesin. Sie bereiten ein Stück über die Revolution vor – was wäre sie heute? was für eine Verfassung? Sie erwähnen Bilder, erleben ihre persönlichen Erinnerungen an die letzten Revolutionen. Allmählich bricht die Fiktion in die Wirklichkeit ein: draussen, ein Aufruhr, etwas, das vom Platzen droht, und von dem noch keiner weiss, worüber widersprüchliche Berichte auftauchen. Dieses Projekt ist eine Zusammenarbeit zwischen der Regisseurin Anne Monfort und zwei Autoren, der Deutschen Ulrike Syha und dem Portugiesen Mickael de Oliveira, die zusammen an einem Text schreiben. Politische, mit der nationalen Geschichte verbundene Begriffe, erscheinen als unübersetzbar, und der Prozess der Übersetzung wird selbst zum Theater. Das Stück, wo die unterschiedlichen Sprachen sich vermischen, wird in den drei Ländern aufgeführt werden.  

Kalender: 
9.11.2015 / Création Teatro Academico Gil Vicent à Coïbra (PO)

08.12.2015 / Conférence au Granit, Scène nationale de Belfort (FR)

05.-08.01.2016 / Le Granit, Scène nationale de Belfort (FR)

14.01.2016 / Le Carreau, Scène nationale de Forbach (FR)

19.-20.01.2016 / Ballhaus Ost - Berlin (DE)

22.-23.01.2016 / Lichthof - Hambourg  (DE)

27.-31.01.2016 / Le Colombier, Bagnolet (FR)

03.03.2016 / DSN, Scène nationale de Dieppe (FR)

08.03.2016 / Théâtre de Thouars, scène conventionnée (FR)

10.03.2016 / Théâtre Jean Lurçat, Scène nationale d’Aubusson (FR)

15.03.2016 / Théâtre Paul Eluard, Scène conventionnée de Choisy-le-Roi (FR)

18.03.2016 / Le Nouveau Relax, scène conventionnée de Chaumont (FR)

Dans une salle de bal décatie, quatre acteurs, Anne, Claude, Anna et Sara- deux Français, une Allemande, une Portugaise. Ils préparent un spectacle sur la notion de la révolution –que serait-elle aujourd’hui ? Quelle serait sa constitution ? Ils évoquent des tableaux, traversent leurs souvenirs personnels de révolutions récentes. Peu à peu, la fiction contamine le réel : à l’extérieur, une révolte, une chose qui gronde et dont personne ne sait encore rien, sur laquelle circulent des témoignages contradictoires. Ce projet est une collaboration entre la metteur en scène Anne Monfort et deux auteurs, l’Allemande Ulrike Syha et le Portugais Mickael de Oliveira, qui créent une matière textuelle unique. Des concepts politiques, liés à l’histoire nationale, s’avèrent « intraduisibles » et le processus de la traduction devient elle aussi matière de plateau. Le spectacle mêlera les différentes langues et se jouera dans les trois pays.


Calendrier : 

19.11.2015 / Création Teatro Academico Gil Vicent à Coïbra (PO)

08.12.2015 / Conférence au Granit, Scène nationale de Belfort (FR)

05.-08.01.2016 / Le Granit, Scène nationale de Belfort (FR)

14.01.2016 / Le Carreau, Scène nationale de Forbach (FR)

19.-20.01.2016 / Ballhaus Ost - Berlin (DE)

22.-23.01.2016 / Lichthof - Hambourg  (DE)

27.-31.01.2016 / Le Colombier, Bagnolet (FR)

03.03.2016 / DSN, Scène nationale de Dieppe (FR)

08.03.2016 / Théâtre de Thouars, scène conventionnée (FR)

10.03.2016 / Théâtre Jean Lurçat, Scène nationale d’Aubusson (FR)

15.03.2016 / Théâtre Paul Eluard, Scène conventionnée de Choisy-le-Roi (FR)

18.03.2016 / Le Nouveau Relax, scène conventionnée de Chaumont (FR)


 

Julia Christ | Le coin de l'âme / Soulcorner

Koproduktion und Zusammenarbeit mit/ Coproduction et partenariat avec : La Brèche - Pôle national des arts du cirque de Basse-Normandie (Cherbourg-Octeville), L’Espace périphérique - lieu de création dédié aux formes contemporaines des arts du cirque, de la rue et de la marionnette (Paris), Théâtre de l’Agora, Scène nationale (Évry-Essonne), Katakomben - Center for performing arts (Berlin), Espace Catastrophe - Centre international de création des arts du cirque (Bruxelles), Le Sirque - Pôle national des arts du cirque (Nexon), Subtopia (Norsborg Schweden/Suède) 

 

 Inspiriert von dem Buch Über Boxen von JC Oates und der Philosophie des charismatischen Boxers Mohammed Ali, der den Kampf weit über die Grenzen des Rings populär gemacht hat, erzählt Le Coin de l’âme / Soulcorner von der Divergenz der Meinungen, die diese Disziplin erfährt. Ursprünglich ist es eine rohe Welt ohne Künstlichkeit… Boxen ist nicht auf Aggression beschränkt; es ist seltsam schön, emotional fesselnd und absolut physisch. Dieses Solo erforscht die Einsamkeit, die Disziplin und die Anforderung und Notwendigkeit des Gegners, transkribiert durch das Prisma einer Frau. Unabhängig von der Gewalt dieses Sports, bewegt mich die Präzision, die Strategie, sowie das verknüpfen von Konzentration mit dem Impuls der Bewegung. Boxen als eine Quelle der Faszination und der Abscheu ...
Le Coin de l’âme / Soulcorner möchte von diesen divergierenden Empfindungen erzählen und sie mit Poesie auf der Bühne übertragen…
,,Und das der Leib nicht völlig so viel vermag wie die Seele? Wenn der Leib nicht die Seele wäre, was ist dann die Seele?" (Walt Whitman).

Kalender:
März-April 2016: Festival Spring 2016 (La Brèche - Pôle National des arts du cirque de Basse Normandie).
21. und 22. Mai in Sirque (Le Sirque - Pôle national des arts du cirque à Nexon).

Saison 2016-2017:
Le Grand Logis (Bruz), Le Rayon Vert (Saint Valéry en Caux), Festival Initiative neuer Zirkus (Berlin et München), Scène nationale d'Aubusson (Aubusson), Internationales Figurentheater Festival (Erlangen). 

Inspiré par le livre de J.C. Oates De la Boxe et par la philosophie de l’athlète Mohammed Ali qui a fait de la boxe un moyen d’expression, représentant le combat bien au-delà des limites du ring, le Coin de l’âme / Soulcorner cherche à exprimer les divergences qui animent cette discipline. La boxe est l’image d’une « lutte pour la survie » ; elle est aussi étrangement belle, émotionnellement captivante et absolument physique. A l’origine, elle est un monde brut sans artifice… Ce solo souhaite transcrire la solitude, l’exigence et le besoin de l'adversaire, la discipline, sous le prisme de la pratique d’une femme. Peu importe la violence du sport, ce qui compte le plus, ce sont la précision, la stratégie et la concentration liée à l’impulsion du mouvement. La boxe comme source à la fois de fascination et d’aversion….
Le Coin de l’âme / Soulcorner souhaite exprimer ces impressions divergentes en transposant leur poésie sur scène…
« Et si le corps n’en faisait pas autant que l’âme ? Et si le corps n’était pas l’âme, que serait l’âme? » Walt Whitman



Calendrier :
Mars-Avril 2016 au Festival Spring 2016 (La Brèche - Pôle National des arts du cirque de Basse Normandie).
21 et 21 Mai au Sirque (Le Sirque - Pôle national des arts du cirque à Nexon).

Saison 2016-2017 :
Le Grand Logis (Bruz), Le Rayon Vert (Saint Valéry en Caux), Festival Initiative neuer Zirkus (Berlin et Munich), Scène nationale d'Aubusson (Aubusson), Internationales Figurentheater Festival (Erlangen).